Baskets dernier cri et chaussures passées de mode, sabots en bois et sandales tendance à semelle compensée s’exhibent ici côté à côte dans une vitrine.
Peu à peu, la frontière entre chaussure et sabot s’estompe : si, autrefois, seuls les riches portaient des chaussures tandis que les pauvres devaient se contenter de sabots, aujourd’hui tout le monde porte un peu de tout. Les stylistes réinventent les sabots pour en faire des « Crocs » ou des « Birckenstock », et la chaussure traditionnelle évolue vers la basket.
Dans les autres vitrines, vous voyez l’outillage du sabotier : vilebrequin, maillet de sabotier, herminette et autre petit matériel.
Sur le billot, une forme brute attend sa finition. Pour achever le travail, le sabotier utilise son vilebrequin et plusieurs lames droites.
À côté du billot se trouve une élégante pile de sabots. Les « Walekes » ou « klepperkes », joliment décorés et légers, sont typiques de ces régions. Le « tripklomp » est une variante du sabot ordinaire, où le sabotier remplace la partie en bois sur le coup de pied par une bande de cuir. Ces sabots sont beaucoup plus confortables, parce que la bride de cuir est réglée à la mesure de l’acheteur.